En cette fin de l'ère industrielle, au vif de ses conséquences dévastatrices et alors que l'automatisation et la robotisation continuent à grands pas à remplacer le travail traditionnel, l'ère du savoir doit prendre la relève en s'appuyant sur des bases économiques et sociales durables, ainsi que des infrastructures de développement et de partage du travail humain qui défie l'automatisation et à la robotisation, même si souvent, ce travail utilise abondamment la technologie sous toutes ses formes, comme: la création, l'invention, le savoir et leur partage.

La prospérité de la nation et de ses citoyens constitue le premier grand objectif de la nation.

En fait, le plan de stratégie et de suivi de réalisation "Prospérité et solidarité durables (PSD-QC)" définit 4  principaux objectifs, en commençant par la  prospérité durable.

En principe, tous les secteurs d'activité contribuent à la prospérité durable, mais à l'ère de l'automatisation, de la robotisation et de l'intelligence artificielle, certains secteurs où les aptitudes humaines se différencient plus drastiquement, deviennent déterminant et indispensables. C'est l'économie du savoir.

Une économie qui requiert des infrastructures et contextes adaptés, dont sa place de marché du savoir où s'échangent et se partage produits, applications et services du savoir et des ressources de connaissance.

Le plan citoyen, normé, de stratégie et de suivi de réalisation "Prospérité et solidarité durables" présente plusieurs considérations sur la place de marché du savoir, tant au niveau des stratégies pour assurer la  prospérité durable, de la  solidarité durable, des  infrastructures  requises, des agences de l'état responsables de la réalisation des stratégies du savoir, de la culture, de l'éducation, telles que  Savoir-Québec,  Voûte-Québec,  Virtuel-Québec  et autres.