L’exploitation des ressources non et peu renouvelables laisse encore des traces importantes et même des territoires dévastés.
Plusieurs, ici et à l’étranger, ont pu s’enrichir de cette exploitation, au détriment de la collectivité et des générations
à venir
et au prix de la destruction du territoire et du bien commun. Cette approche semble diamétralement opposée à la prospérité
durable.
Ex. Sites québécois à restaurer en 2013
Dans ce cadre, l’État assure le développement de la restauration des ressources non ou peu renouvelables en y réinvestissant
les revenus
de leur exploitation tout en privilégiant le principe de profiteurs ou pollueurs payeurs.