La section Infrastructure durable considère les stratégies de transport durable. La présente section se rattache plutôt
au rôle et à l’impact des transports sur la solidarité.
En effet, les transports s’organisent en réseaux et ceux-ci contribuent aux contacts et à la collaboration entre les
citoyens.
La population augmente et les réseaux de transport sont soumis à des niveaux de circulation de plus en plus importants.
Le nombre et l’étendue des réseaux, comme le réseau routier, ne peuvent croître indéfiniment.
De toute façon, plus le réseau routier s’étend, plus il s’engorge, augmentant ainsi coûts, délais, pollution et frustration.
De nouvelles approches sont nécessaires et la ligne directrice est la mise en commun, c’est-à-dire le partage.
Ce partage s’exerce de plusieurs façons et une des clés est le transport en commun.
Plusieurs réseaux de transport sont déjà majoritairement « en commun » comme l’aviation, le transport maritime, le rail
et même, l’aérospatial.
Quant au réseau routier, la situation actuelle est présentement beaucoup moins adéquate.
Le réseau routier offre des circuits de transport collectif comme l’autobus, le tramway et les connexions avec le rail
(ex. métro, train).
Il existe également des circuits hybrides, entre l’individuel et le collectif. Reste que pour l’ensemble, la dominante
reste plutôt individualiste.
L’État prévoit et favorise le transport partagé comme le transport collectif et le transport intégré.