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PSD-QC/4-Objectifs/4.2-Prospérité durable/4.2.7-Finance |
Les grands aspects financiers sont déterminants dans le cheminement d’un pays et de sa nation. L’État endosse donc certains principes reflétés par les stratégies suivantes: L’État reconnaît l’importance du rôle des banques dans l’économie. L’État développe une collaboration déterminante avec les banques et institutions financières. Pour assurer l’équité fondamentale à la prospérité, l’État taxe les revenus des institutions et opérations bancaires. cf. 4.2.7.7 Taxes et impôts. L’État assure que les revenus de la taxation des institutions et opérations bancaires soient réinvestis à travers 4.4.4.16 Capital-Québec. L’État assure la coordination du système financier et du financement de ses opérations en mettant sur pied sa propre banque centrale, une composante à part entière de 4.4.4.16 Capital-Québec. L’État assure que le pays supporte sa propre monnaie, la piastre du Québec, par exemple. La création de la monnaie du pays requiert des étapes de mise sur pied, l’État favorise entre temps l’utilisation de la monnaie fédérale (ex. canadienne), à moins que la fédération n’utilise sa monnaie pour nuire au pays et à son plan durable de quelque façon que ce soit. Le cas échéant, l’État assure l’utilisation transitionnelle d’une autre monnaie (ex. USD, Euro). L’État favorise le support d’une crypto-monnaie et de son intégration à la plateforme de la place du 4.3.5.3 Marché du savoir, en support aux infrastructures de micro-paiement, de facturation à l’usage et autres transactions électroniques. L’État assure la capitalisation de ses opérations et la gestion du capital, de la capitalisation, du placement, de l’investissement et de la dette à Capital-Québec, cf. 4.4.4.16 Capital-Québec, en collaboration avec le gouvernement et son Conseil du trésor. La Banque centrale du pays, une composante de 4.4.4.16 Capital-Québec, est responsable de la monnaie nationale, de la coordination du système bancaire et financier, et de la Bourse nationale. L’État empêche tout monopole industriel, ou syndical, à l’exception des siens, c’est à dire ceux de la nation et de ses citoyens, parce que les monopoles privent les citoyens de choix et d’option en plus de favoriser les hausses unilatérales de prix. Seul l’État, avec sa démocratie citoyenne (cf. 4.4.2.6 Démocratie, 4.4.4.13 Démocratie-Québec), à travers ses responsabilités de gestion de la collectivité et son imputabilité constante vis à vis des citoyens et des instances de gestion avec diligence et probité du plan de stratégie, assure l’exercice des monopoles requis inéluctablement, en fonction des besoins, objectifs et stratégies de la nation. Pour réduire l’iniquité et l’injustice, pour simplifier la fiscalité et réduire les coûts de sa gestion, l’État favorise le remplacement des taxes de vente et impôts par une taxe unique (ex. 0,2%) sur les transactions électroniques. Non seulement cette approche plus répartie est plus juste et simplifie la collection et la gestion fiscale des entreprises et du gouvernement, mais en plus, elle taxe automatiquement les transactions en ligne et les services des grands fournisseurs d’Internet, ex. google, Netflix, ainsi que les Uber, AirBnB et autres, ainsi que les institutions financières, tous proportionnellement. Les tarifs douaniers, transport (ex. carburant), et autres contribuent à l'assiette fiscale de l’État. L’État favorise l’utilisation des économies et gains réalisés pour : Pour réduire l’iniquité et l’injustice, pour simplifier la fiscalité et réduire les coûts de sa gestion, l’État favorise le remplacement des taxes de vente et impôts par une taxe unique (ex. 0,2%) sur les transactions électroniques. Non seulement cette approche plus répartie est plus juste et simplifie la collection et la gestion fiscale des entreprises et du gouvernement, mais en plus, elle taxe automatiquement les transactions en ligne et les services des grands fournisseurs d’Internet, ex. Google, Netflix, ainsi que les Uber, AirBnB et autres. L’État favorise l’utilisation des économies et gains réalisés pour contribuer au financement du salaire citoyen minimum assuré pour tous les citoyens, cf. 4.1.2.2 Salaire citoyen qui remplacera également les contributions actuelles au filet social (ex. chômage, aide sociale), ainsi qu’à la mise sur pied de la plateforme de démocratie citoyenne 4.4.2.6 Démocratie) et fondement d’une place de marché du savoir, cf. 4.4.2 Économie, 4.4.1.3 Marché du savoir, 4.4.4 Structure, 4.4.4.5 Réseau-Québec, 4.4.4.6 Virtuel-Québec, 4.4.4.7 Savoir-Québec, 4.4.4.8 Formation-Québec, 4.4.4.9 Télé-Québec, 4.4.4.10 Sécurité-Québec, 4.4.4.11 Voûte-Québec.
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