Alors que l’État favorise une approche qualitative plus que quantitative en ce qui concerne l’exploitation des ressources
non ou peu renouvelables,
il favorise et valorise le développement, l’exploitation, le traitement et la transformation des ressources anthropiques.
Par exemple, considérant l’exploitation forestière, la Suède possède beaucoup moins de forêts et interdit la coupe à
blanc, exigeant des coupes sélectives.
Pourtant, l’exploitation forestière suédoise reste beaucoup plus profitable que l’industrie québécoise du bois qui se
fonde plutôt sur la coupe à blanc,
la différence étant que la Suède transforme son bois en lui ajoutant l’importante plus-value anthropique de la transformation
(ex. Ikea).
On constate également que les géants de l’Internet, comme Google, fondent leurs fortunes presque exclusivement sur des
ressources anthropiques.
L’État favorise le développement et l’exploitation des ressources renouvelables, particulièrement de nature anthropique
ainsi que les technologies, services et aspects reliés.